Un gain de seulement 0,2 % des ventes après la pire chute depuis septembre 2009 ne fait pas très bonne figure, mais le secteur automobile (et aussi la baisse des prix de l’essence) assombrit considérablement le portrait. Excluant les autos et l’essence, le rebond de janvier efface une grande partie de la baisse de décembre, mais pas complètement ; les ventes restent 0,5 % sous celles de novembre.
Les résultats de janvier sont néanmoins meilleurs que prévu considérant que le shutdown et la baisse de la confiance des ménages se poursuivaient en janvier. Il faut aussi voir dans le rebond de certaines composantes des ventes au détail l’effet miroir de mouvements plutôt aberrants en décembre. On pense surtout au recul de 5,0 % des ventes en ligne, qui fait maintenant place à une hausse de 2,6 %. De l’autre côté, certains secteurs demeurent faibles, notamment ceux concernant les biens durables (meubles, biens électroniques, etc.), mais aussi les vêtements.
Les résultats de janvier sont néanmoins meilleurs que prévu considérant que le shutdown et la baisse de la confiance des ménages se poursuivaient en janvier. Il faut aussi voir dans le rebond de certaines composantes des ventes au détail l’effet miroir de mouvements plutôt aberrants en décembre. On pense surtout au recul de 5,0 % des ventes en ligne, qui fait maintenant place à une hausse de 2,6 %. De l’autre côté, certains secteurs demeurent faibles, notamment ceux concernant les biens durables (meubles, biens électroniques, etc.), mais aussi les vêtements.
Implications
Le rebond des ventes excluant les automobiles et l’essence est encourageant, mais il n’efface pas toutes les craintes. Dans ce contexte, la Réserve fédérale se montrera patiente.