
Pour obtenir le versement d'un bon niveau de dividendes, il est admis qu'il faut privilégier les titres de rendement (appelés « titres à dividendes » au Québec), contrairement aux titres de croissance dont le montant des dividendes versés est très faible mais qui offrent un potentiel d'appréciation de l'action plus conséquent. Pourtant dans les faits, cette dichotomie est à nuancer, comme le démontre Paul Dontigny, le Président de Investissements PDJ.